#la plus belle pour aller danser
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guycourtheoux · 3 months ago
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Monsieur Aznavour, c'est impressionnant Tahar Rahim tout autant que les autres comédiens, c'est à voir absolument en salles
Il y a de grandes réussites cette année au cinéma, comme ce fut le cas avec LE COMTE DE MONTE CRISTO,  ou encore Un P’TIT TRUC EN PLUS ou encore EMILIA PEREZ. J’ajoute immédiatement à cette liste le biopic co-signé par Grand Corps Malade et Mehdi Idir. Fils de réfugiés, petit, pauvre, à la voix voilée, on disait de lui qu’il n’avait rien pour réussir. À force de travail, de persévérance et d’une…
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playvodfr · 1 year ago
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« La Plus belle pour aller danser », une comédie qui est dispo sur PlayVOD
Dans la section « Comédie » de PlayVOD, il y a « La Plus belle pour aller danser ». C’est un film qui convient à toute la famille. Alors, profitez-en pour le regarder en streaming.
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actusdefilmsetseries · 2 years ago
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Des films et séries à découvrir pour vous divertir
Victoria Bedos propose une comédie transgénérationnelle « La Plus Belle pour Aller Danser » mettant en vedette Pierre Richard et Philippe Katerine. Cette réalisation a été sélectionnée pour le Festival de l’Alpe d’Huez et est à voir dans les salles depuis le 19 avril 2023. N’hésitez pas à la découvrir. 
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coovieilledentelle · 1 month ago
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Samedi soir... avec ma jolie robe , je serais la plus belle pour aller danser.... Bonne soirée
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impossiblyholyparadise · 4 months ago
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Suite de notre soirée dans l’anse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, préférant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait réellement voir Ana surtout lorsqu’elle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opérer...J’aimais les admirer. Je n’étais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusqu’au bout de la nuit dès qu’elle le pouvait...Moi, j’étais heureux, un verre à la main, à les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il m’apparaissait alors un indéniable parallélisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ;  
La laisser être dirigée... ;
La laisser s’endiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, être enlacée, serrée par lui, être touchée, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant même.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour l’instant elle dansait tout à tour quelques salsa et autre Mango endiablés de manière lascive avec tour à tour Clara et Laura, puis la soirée avançant et l’espace autour d’elles se resserrant, à trois...
Bob m’accompagna au début en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances féminines de la plage et du jour l’avait invité à faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de l’été...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je n’étais pas le seul d’ailleurs...
De nombreux aficionados s’aventuraient au plus près d’elles...
J’apercevais parfois, ce qui me faisait rire et même m’enchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui s’étaient maintenant tellement rapprochées qu’on aurait pu croire qu’elles ne faisaient qu’une...
Néanmoins à un moment, un des garçons présents près des filles, réussit à agripper Ana et à l’extraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuèrent à danser tout en s’enlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osèrent même un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant près d’elles, les virent littéralement être phagocytées par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculées contre un mur et un peu isolées par le noir du bord de piste contrastant avec l’intensité des lumières festives éclairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu à l’écart et sur la piste avec son cavalier, élégant et visiblement doué pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dès que je pouvais à Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir à danser avec ce jeune homme et à m’offrir, elle savait que j’appréciais, le spectacle de leurs corps enlacés et énivrés de musique.
A un moment, elle vint près de moi pour se rafraîchir et me présenter à son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chéri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens c’est un slow...Daniel nous rejoindra s’il veut... ».
Elle me donna un baiser appuyé dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce qu’il pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester à la danse...
On avait déjà vécu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre région ...Je ne vous dis pas comment tout cela s’était terminé...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je n’hésitais pas à les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour être sûre de sa prise, elle tenait même fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce qu’elle devait prendre...
A mon approche, quasi à la toucher par derrière, je la vis se pencher à l’oreille du garçon malgré tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, j’en étais certain, le rassurer et lui dire que je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait être incrédule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible à en comprendre le sens profond pour celui qui en était l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancée et échauffée, fort de ce que l’on s’était dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrément de la liberté de notre vie sexuelle, je levais discrètement sa robe et vint insérer mon mât tendu à l’extrême par la situation dans son sillon fessier et me laissé guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarqué en m’approchant d’Ana que les copines de Bob avaient elles aussi été prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais délibérément Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadés de mon sexe impatient de conquête, vers les corps déjà entremêlés de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvèrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que l’on pouvait constituer faisait parfaitement obstacle à la vue des autres danseurs présents dans la boite qui de toute façon étaient manifestement eux aussi affairés et pris dans des tourments et autres ballets érotico-sexuels...
J’appris et ait eu confirmation par Bob le lendemain qu’en fait cette petite boite de nuit était devenue au fil des soirées de cet été là, un des lieux libertins, si ce n’est le lieu libertin le plus côtés de la Côte Vermeille...
Pas franchement étonnant au vu de comment évoluait la soirée, même si totalement insolite devant l’absence d’endroits habituels et dédiés à certaines pratiques des clubs libertins, ou même à quelconque information, allusion par des néons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des préservatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu étrange et peut-être même risqué pour qui aurait pu s’y aventurer par mégarde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habitués y venaient, limitant ainsi du coup les problèmes qu’il y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencèrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis qu’Ana s’était même retrouvée totalement nue tandis que Clara et Laura n’avaient plus de haut...
C’est ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent à honorer, nous faisant tourner tout autour d’elles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la première à se redresser et à se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi l’honneur mon Amour d’ouvrir le feu.. Je t’aime... ! »
Elle m’indiquait ainsi, de même qu’aux autres que c’était maintenant en levrette qu’elle voulait qu’on la prenne...
Ses amies l’imitèrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnés, pendant que chacun des mâles les saillissait tour à tour ou leur faisait minette à volonté ...
Le jeu dura un certain temps et même Bob et sa dernière amie vinrent se joindre à la ronde...
Toutes et tous exténués, nous nous réfugièrent à l’aube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littéralement entassés pêlemêle, là où raisonnablement il n’y avait réellement de la place que pour deux, et jusqu’au petit matin les corps avachis se sont abandonnés dans une anarchique et irréelle orgie des sens et des corps...
Je m’étais pour ma part inséré au plus près et au plus profond du cul d’Ana qu’elle savait encore et si adroitement faire vibrer qu’elle m’en autorisait ainsi à bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tête pour l'engloutir entre ses seins démesurés et m'inciter à en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lèvres...
Je me souviens également que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances qu’elles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions réellement, stupidement et bêtement joué avec nos vies cette nuit-là dans l’insouciance de notre jeunesse et d’une épidémie de Sida qui pointait déjà le glaive de ses ardeurs mortifères et dévastatrices.
Inconscience et peut-être même et sûrement, honte à nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santé et bien des années plus tard, tout à la fois bien conscient du bonheur que l’on ait eut de pouvoir vivre cette liberté sexuelle totale et débridée, nous sommes si heureux d’avoir été épargnés par tous ces fléaux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventurières et libertines que nous permettait l’époque...
Non pas qu’il y ait moins de désirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez fréquemment avec Ana dans nos échanges de mails et au travers des récits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilités se soit vu avec bon sens et légitimité hors couple réduit.
Ainsi goûter au délire assez fou j’en conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant féminines que masculines d’une telle soirée orgiaque n’est plus aujourd’hui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce n’était d’ailleurs pas forcément bon, ni même un kiff personnel pour tout dire, mais d’une telle intensité érotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expérience insolite et même vertigineuse.
Je me souviens encore aujourd’hui des lèvres épanouies, ouvertes, chaudes et maculées de saveurs de nos complices, ...
J’ai aussi partagé cette nuit là quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et d’autres, filles ou garçons, dans des délires érotiques sans fin qui nous avaient emportées au confins des possibles en matière de sexualité...
C’est aussi cette nuit-là que j’ai pu ressentir ce que pouvais être le dépucelage et ensuite la jouissance je dois l’avouer de mon propre cul...
Hétéro, bi, homo,... plus rien n’était ou ne pouvait être interdit à personne et nous n’étions tous que frénésie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- être que je les reçoive et vive de cette manière pour ensuite pouvoir les apprécier, particulièrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois l’avouer, cette soirée m’a totalement désinhibé pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte où je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce qu’elle souhaitait de moi ou moi-même, être en pleine conscience et capacité d’accepter, de réaliser ou de vivre certaines pratiques que j’aurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusé.
Plus tard avec Ana j’ai pu ainsi beaucoup apprécier de temps à autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou même un gode-ceinture ( je voulais réellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout à tour, ce qu’elles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, émotions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...J’en appris beaucoup sur les femmes et leurs désirs de masculinité assez souvent subconscient mais aussi souvent bien présent...) ;
et même de tenter un jour l’aventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays très drôles et ouverts à tout qui m’avaient invité à découvrir l’incroyable ambiance et l'atmosphère de la gay-pride et d’une croisière organisée en mer des Caraïbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en début de matinée, alors qu’il devait ouvrir et tenir son poste, nous réveilla...
Les autres étaient discrètement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lèvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob était bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, même si je savais que j'avais accompagné Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idée que ce fût Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai à jamais mon ami.
Je retournerai à Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur l’Espagne...Nous n’étions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas même au bout de nos congés et moi surtout pas au bout d'une sexualité torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolérance, de tous ses attraits et de toutes ses beautés à découvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
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ludmilachaibemachado · 14 days ago
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In 1967, Sylvie Vartan, the dazzling French pop icon, made a memorable appearance on the iconic French television show Dim Dam Dom. Filmed in Paris, this groundbreaking program was known for its avant-garde presentation and stylish format, making it a fitting stage for Vartan, who epitomized the glamorous and vibrant spirit of the 1960s🌼🌼🌼
Born on August 15, 1944, in Iskretz, Bulgaria, Sylvie Vartan moved to France as a child and rose to fame during the early 1960s. By 1967, she was one of France's most beloved yé-yé singers, a music movement characterized by youthful energy and catchy pop tunes. Her music and style resonated with the era's shifting cultural norms, blending American rock influences with French elegance🪴
Dim Dam Dom, which aired from 1965 to 1971, was a revolutionary television show targeting a young, fashion-forward audience. Its innovative format included short segments, eclectic visuals, and appearances by leading cultural figures. Vartan's participation in the show cemented her status as a trendsetter. Her performances often featured meticulously choreographed routines and glamorous outfits, reflecting her reputation as a dynamic stage presence and a style icon🍁
During this period, Vartan was not only celebrated for her music but also for her role in shaping pop culture🌻
Married to French rock star Johnny Hallyday, she was part of a power couple that dominated the entertainment world. Her hit songs like "La plus belle pour aller danser" and "Comme un garçon" captured the essence of the 1960s, blending romance, rebellion, and modernity🍃
Vartan's appearance on Dim Dam Dom exemplified her influence on music, fashion, and television. It showcased her ability to captivate audiences, leaving an indelible mark on French pop culture and solidifying her legacy as an enduring icon of the era🍂
Via History Era Revisited FB🌸
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billboard-hotties-tourney · 7 months ago
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Aretha Franklin (1942-2018) solo Songs: "Think," "Respect" Propaganda: "The Blues Brothers should have taken her with them instead of her husband. big mistake there." "Aretha deserves all the Respect"
Sylvie Vartan (1944-) solo Songs: "La plus belle pour aller danser," "Baby Capone" Propaganda: see visual
Visual Propaganda for Aretha Franklin:
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Visual Propaganda for Sylvie Vartan:
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iranondeaira · 7 months ago
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Combien j’ai apprécié chaque moment passé avec toi ...
Pardon .
J’aurais voulu avoir une autre chance de te dire combien je t’aime quand bien même il est trop tard maintenant que l’histoire n’est apparemment plus à suivre ...
Notre histoire ...
Je me réveille la nuit, une douleur liquide qui coule dans tout le corps, cherchant l’erreur que j’ai pu commettre... les jours sont restés les mêmes, ils se suivent ... les nuits se sont transformées en vertige, ton absence est trop présente pour que je puisse tenir ton souvenir hors de moi , la vie est courte mais lente et donne à espérer ...
je ne te cherche pas ... tu es là ... oui certains soirs tu me fais mal ... je m’imagine marchant dans les rues, nos rues ... à la recherche de ton fantôme ... Je sais qu’une part de ma vie d’homme vient de marquer le pas, elle restera là... longtemps... à ne plus pouvoir passer la porte de ces lieux ... à attendre que le temps efface les traces ... à attendre ... de sentir imperceptiblement l’indifférence atténuer la douleur ... avec le temps ...
Je sais que je ne pourrais plus dire je t’aime, je me sens étranger à moi-même, une part de moi est partie avec toi ... je t’ai laissé aller là où personne n’avait trouvé le chemin ... j’en étais moi-même heureux de la surprise de me découvrir à travers tes yeux, sentir mon corps devenir vivant sous ta chaleur... j’y ai cru si fort ...
Toi seule pouvait te faufiler là où j’étais ... Toi seule pouvait trouver le chemin de ce jardin que la vie m’avait donné à fermer ... j’y ai cru à cette promesse ... nous étions amants ... j’y ai cru à nos cœurs à corps ... j’y ai cru à cet amour, il venait de tellement loin ...
je porterai le deuil de cette histoire, un bout de mon histoire ... ce sont les choses de la vie paraît-il ... je vais apprendre à vivre sans toi, je me souviendrai de ton goût de pommes de cerise et de lilas, je me souviendrais du parfum de verveine, de vanille de ce petit bonheur tout doux ... Je dois vivre sans tes bras, avec le souvenir de ton sourire, de tes yeux ... Ma raison renoncera mais je sais que ma mémoire est marquée au fer rouge tel le tatouage qui coure sous ma peau ... oui je t’ai dans la peau , les jolies danses sont rares , tu étais, tu es ma plus belle danse ... notre histoire est, était ... un moment ... bien.
Il me faudra du temps pour ne plus être frappé par cette panique de la raison si je devais te revoir même par hasard ... Je te vois danser sur les quais dans cette petite robe noire ... je sais que je n’aurai pas la force et pourtant je voudrais te revoir .
Avons-nous bien vécu la même histoire ? Oui, parfois je reste immobile les yeux dans le vide et de me demander si ce n’était pas un rêve, juste un joli rêve .
Mon amour est abîmé ... tu n’aurais qu’à ouvrir les bras pour tout recommencer... tout reconstruire ... une nouvelle histoire ... Nôtre histoire ...
Toi sinon personne
.. .’ ....
🎨 : Gleb Gloubetski
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koalathebear · 8 months ago
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Maxton Hall: The World Between Us fan video: Ruby x James: The Playful Mix
I have recently fallen completely and utterly in love with the German series on amazon prime called Maxton Hall: The World Between Us / Die Welt zwischen uns. If you haven't watched it, you need to watch it but watch it in its original German with the English subtitles because you will lose so much with the English dub. Anyway, I looooooooooooooooooooooove James and Ruby so much. It's almost terrifying how much I love them as a ship.
Spoilers for all season 1.
The song is La Plus Belle pour aller danser a French song from the sixties sung by Sylvie Vartan. I used it because part of the reason I love Ruby and James so much is that when they are not at one another's throats, they have a playful, puckish relationship that reminds me of the old screwball comedies. I LOVE it so much....!!!
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swedesinstockholm · 5 months ago
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8 août
je sais pas si c'est mes règles ou quoi mais spectaculaire renversement émotionnel cet après-midi. j'étais en train de pleurer sur mon canapé en regardant une vidéo que r. venait de m'envoyer avec un émoji bisou, ça faisait presque deux semaines que j'avais pas de nouvelles de lui et il me manquait un peu mais on notera que j'ai pas pleuré une seule fois pendant ces presque deux semaines. c'était une vidéo adult swim d'un mec qui raconte des trucs doux censés aider à s'endormir avec une voix un peu monocorde mais bienveillante et j'ai commencé à pleurer allongée sur le dos avec mon téléphone posé sur mon ventre qui montait et qui descendait avec ma respiration parce que j'avais envie de me blottir contre son corps inaccessible son corps interdit son corps loin d'ici. je pleurais parce qu'il pensait à moi. et puis j'ai reçu un mail du musée auquel j'avais postulé qui me disait qu'ils avaient choisi quelqu'un d'autre pour le job de surveillance et je me suis mise à danser comme une zinzine sous ma mezzanine avec mes bras en l'air et tout, les traces de mes larmes séchées encore imprimées sur mes joues. je crois que c'est la première fois depuis que je suis ici que je me sentais aussi heureuse. heureuse et soulagée, surtout. je vais passer mes deux semaines non abrégées à la mer sans stress et rentrer à la maison en voiture avec maman et aller au poetik bazar à bruxelles et voir m. et je pourrai rentrer à berlin quand je veux. voire pas du tout. quand n. m'a demandé quand je revenais j'ai dit je sais pas et elle a dit you're not coming back at all en rigolant. pour le moment je suis juste contente d'avoir cet horizon devant moi: la mer, la maison, bruxelles. tout va bien.
quand maman m'a appelée j'avais encore de la joie dans la voix mais je lui ai pas dit parce qu'elle m'aurait engueulée en me disant que je fais aucun effort. ce qui est vrai. mais là je suis sur mon canapé en train de manger des chips en écoutant du easy listening ensoleillé en répétant la vie est belle parce qu'y a que comme ça que je trouve de la joie: dans la fuite.
11 août
mon livre est en crise, il s'est écroulé comme un chateau de cartes. vu l'importance que j'y accordais depuis quelques mois, c'est un peu vertigineux. et maintenant? et maintenant je vais recommencer. pas complètement, mais je laisse tomber la trame de a. n. m'avait dit que peut être que mon déménagement à berlin allait influencer la direction de mon livre et j'avais dit non je crois pas, je sais exactement l'histoire que je veux raconter, sûre de moi, et voilà qu'elle avait raison. j'ai envie de tout raconter depuis la perspective d'ici, du déplacement. j'espère que ça va libérer mon écriture.
12 août
j'ai trouvé l'endroit parfait au bord de la spree, assise dans l'herbe au ras de l'eau au frais sous un arbre sur une île peu peuplée. quatrième jour que je suis seule à l'appart et je suis sortie tous les jours sauf vendredi. je sais même plus ce que j'ai fait vendredi, à part savourer ma solitude et faire pipi avec la porte ouverte. j'ai recommencé à regarder bored to death sur mon disque dur parce que tout le monde me met en garde contre le streaming en allemagne en me racontant des anecdotes de gens qui ont du payer des amendes astronomiques. cette série a des personnages féminins aussi sous-développés que curb your enthusiasm, zéro perspective féminine, que des faire-valoir pour les personnages masculins ou carrément des objets, mais ça me gêne pas vraiment. je la trouve toujours aussi excellente que quand j'avais 19 ans et que je m'en rendais pas compte parce que j'étais pas encore éduquée au féminisme. je m'identifie quand même aux personnages et ils me font toujours autant mourir de rire et ça me dérange pas que la perspective soit entièrement masculine et pas franchement féministe. voilà, c'est un constat. je sais pas quoi en faire.
samedi matin j'étais réveillée à sept heures par les enfants du dessus alors je me suis levée aussi sec j'ai déjeuné et je suis partie sur la presqu'île de pichelswerder dans l'ouest. merveilleux merveilleux sentiment de sortir dans la rue un samedi matin à huit heures. ça m'a rappelé quand j'allais me promener le long du fjord en islande le matin pendant que tout le monde faisait la grasse matinée pour récupérer de la fête de la veille à laquelle j'avais pas participé, à rebours du monde. je me sentais à rebours de la ville. pichelswerder c'était un peu décevant parce que tous les jolis rivages étaient privés. comme les grands pins qui sont tous dans des jardins privés au grau d'agde. ça me met toujours en furie. un couple un peu âgé qui allait rejoindre leur bateau m'ont demandé si j'avais besoin d'aide (de nouveau j'étais la fille confuse, comme l'autre jour à la piscine. sie laufen da verwirrt rum.) ils m'ont conseillé un chemin mais au bout d'un quart d'heure je me suis rendu compte que c'était pas là que je voulais aller et j'ai fait demi-tour pour marcher jusqu'à la prochaine presqu'île qui n'avait aucun accès au rivage mais des jolies petites maisons un peu sauvages avec des herbes hautes et des vieilles voitures rectangulaires et sales garées devant. je vois beaucoup de vieilles voitures rectangulaires à berlin. parfois je les prends en photo parce que je les aime bien. parce que ça me rappelle mon enfance? je sais pas. c'était très calme et y avait une atmosphère de dimanche matin ensoleillé germanique que je relie très fort à l'enfance, même si j'ai quitté l'allemagne quand j'avais un an et demi et que j'ai zéro souvenir.
après un petit moment de découragement j'ai fini par trouver une promenade le long d'un bras de la havel qui devient un lac. y avait des petits cabanons de weekend charmants avec des petits jardins plus ou moins bien entretenus, des belles maisons opulentes avec la vue sur le lac, une forêt, des bateaux, du bleu et du vert et du calme. le soir j'ai envoyé les photos de mon excursion à r. en réponse aux photos de sa fille au bord de l'eau et de bouquets de fleurs des champs qu'il m'avait envoyées, pétrie de paranoïa qu'il y ait une autre fille hors champ. ce matin dans l'escalier de l'immeuble il m'a envoyé des chansons et dans ma tête ça disait je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime
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bea-lele-carmen · 11 months ago
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Ce soir je serai la plus tendre quand tu me diras, diras
Tous les mots que je veux entendre murmurer par toi, par toi
Je fonde l'espoir que la robe que j'ai voulue
Et que j'ai cousue point par point
Sera chiffonnée et les cheveux que j'ai coiffés
Décoiffés par tes mains
Quand la nuit refermait ses ailes, j'ai souvent rêvé, rêvé
Que dans la soie et la dentelle, un soir je serai la plus belle
La plus belle pour aller danser
Oui, la plus belle pour aller danser
La plus belle pour aller danser
Tu peux me donner le souffle qui manque à ma vie
Dans un premier cri de bonheur
Si tu veux ce soir cueillir le printemps de mes jours
Et l'amour en mon cœur
Pour connaître la joie nouvelle du premier baiser, je sais
Qu'au seuil des amours éternelles il faut que je sois la plus belle
La plus belle pour aller danser
La plus belle pour aller danser
Oui, la plus belle pour aller danser
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clara-maybe-ontheroad · 2 years ago
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Current to watch list
Because I've seen someone else do it and that's as good of an introduction as any :
Currently watching : GAP The Series, The Office season 2, Dark season 3, RuPaul's Drag Race season 15
Rewatching : The Untamed, Not Me, Love in the Air, Nirvana in Fire, Gilmore Girls
Movies recently watched : Babylon (3***), Tár (2**), The Banshees of Inisherin (4****), The Menu (4***)
To watch list : The Knock out (狂飙), Love Between Fairy and Devil, Derry Girls season 3, Heartstopper, Return to Dust, La plus belle pour aller danser
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ximo220550 · 2 years ago
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Sylvie Vartan ~ La Plus Belle Pour Aller Danser
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dianefqt · 2 months ago
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Tellement belle cette chanson✨😍
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brandonestfabuleux · 3 months ago
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French Blog #4! (My Forever Friend Alyssa)
J'aimerais vraiment écrire sur mon amie pour toujours Alyssa, elle est décédée en septembre 2021. Le dimanche 29 septembre a marqué les 3 ans de son décès, elle me manque profondément. C'était vraiment une belle âme, elle était belle à l'intérieur comme à l'extérieur. Elle était aussi idiote que possible et hilarante. Elle était la définition d'une véritable amie, elle était toujours là pour moi. Je connais Alyssa depuis le collège, elle était mon amie d'enfance. Il y a des jours où je ne peux physiquement pas accepter qu'elle soit partie, où j'ai l'impression de ne plus pouvoir respirer. J'ai tellement envie de prendre mon téléphone et de l'appeler, je veux lui faire un gros câlin et ne jamais la laisser partir. La perdre m'a appris que le deuil est un amour sans endroit où aller. Je lui serai toujours reconnaissante et je serai toujours reconnaissante pour elle et notre amitié, j'ai eu tellement de chance et de bénédiction d'avoir eu une amitié comme elle dans ma vie. Elle était cette amie qui est devenue une famille. Elle avait le rire le plus mignon qui était si maladroit, son rire était contagieux et vous faisait rire. Il y a tellement de choses qui me manquent chez elle. Elle m'a toujours dit de briller comme l'étoile que je suis. Elle avait un beau sourire, son énergie était si chaleureuse et accueillante. Elle aurait certainement été une mère incroyable un jour, ça me brise le cœur qu'elle ne puisse pas vivre le reste de sa vie et se marier, trouver l'homme de ses rêves, avoir des enfants et être mère. Il y a tellement de choses qui me manqueront dans sa vie et qui lui manqueront dans la mienne. J'aurais vraiment aimé qu'elle soit là pour rencontrer mon petit ami Daniel, mais honnêtement, je pense que c'est elle qui me l'a envoyé. Il me rend si heureuse, je sais qu'elle l'aurait aimé et aurait été si heureuse pour moi. Elle était si encourageante, si solidaire et toujours heureuse pour les autres. Elle méritait le monde et plus encore. Elle était aimante et attentionnée, elle était si gentille. Je sais que je la rends très fière et cela signifie absolument beaucoup pour moi, quand j'aurai obtenu mon diplôme universitaire, je le ferai pour nous deux. Je sais qu'elle est en paix et dans un meilleur endroit, mais je souhaiterai toujours qu'elle soit ici avec moi. Elle sera toujours avec moi en esprit, je sais qu'elle me sourit et veille sur moi. Elle est là-haut en train de danser dans le ciel. Ma belle amie me manquera à jamais. Alyssa était si pleine de vie et d'amour, elle a partagé sa lumière avec ce monde.
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neitheriam · 7 months ago
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Rencontre
Presque deux ans après Une rencontre — épisodes (1) et (2) —, le hasard m’amène vers une nouvelle belle rencontre. Improbable, imprévisible, impromptue. Au départ, en discutant un peu, tu te révèles très gentil, et par la suite, c’est un plaisir d’apprendre à te découvrir.
Nous nous étions croisés plusieurs fois, et avions échangé des banalités. Tu es bienveillant, et tu apportais des conseils toujours pertinents. Je ne savais pas situer si c’était parce que tu es naturellement gentil, pour se rapprocher, ou les deux. Tu es beau et puissant. En effet, ça impressionne.
Cette soirée devait être une soirée où je devais ne pas rentrer tard, ni accompagné. D’abord, j’ai été surpris par l’agréable musique. Puis, il y a eu une première rencontre furtive complètement sortie de nulle part. Avec cet étranger. Je suis très mauvais pour détecter les signes que l’on peut me faire. Ce fut agréable, et lorsque que son ami — je suppose que l’on pourrait dire son ami — est venu pour qu’ils rentrent, j’étais déjà au-delà des surprises imaginables pour cette soirée.
Je suis retourné dansé, et c’est là que je t’ai revu. On s’est un peu tourné autour, la première rencontre a dû me rendre plus réceptifs aux signaux qui me sont habituellement invisibles ou incompris. Mais je ne savais vraiment pas sur quel pied danser pour te décoder. On a fini par s’embrasser. Je ne savais pas non plus si je devais être embarrassé des regards extérieurs. Tu m’as pris la main, et nous avons fini par partir ; c’est vrai qu’il était déjà l’heure où Paris s’éveille.
Me voilà ne rentrant pas seul, et nous avons dormi ensemble, la soirée ayant épuisée les dernières forces de ce week-end. Tu es beau quand tu dors. Tu me fais parfois penser à lui quand je n’arrive pas à décrypter ton visage. À quoi penses-tu ? Es-tu à l’aise ? Exprime-toi !
Oui, tu l’as appris. Je pensais que tu étais déjà au courant, la plupart des autres le sachant. Alors la nuit et le réveil agréables ont fini par prendre fin. Cette fois, c’est moi qui ne savait pas à quoi penser. Mais je sais que j’ai été touché.
Nous nous sommes revus de façon habituelle. Ces premières fois suivantes m’ont semblé avec un petit mal-être ou gêne de non-dit. Mais ça n’a pas empêché de continuer à discuter.
Cet autre week-end a été une autre surprise. C’était agréable. Vraiment tout — sauf l’exercice éreintant, soyons honnête. Je sais que j’ai encore été touché. Comment, je ne sais pas. Mais tu es attachant, un peu mystérieux, et cela ne me donne que plus envie de continuer à te connaître.
C’est ce que nous avons fait cet autre soir là. Discuter. Échanger. Se découvrir plus. Et cela a été très agréable. Tu me l’as appris. J’espère qu’on continuera jusqu’à ce que tu doives t’en aller. Je suis sincèrement content pour toi, et j’espère que tu le feras, si tu as toujours l’envie. Même si égoïstement j’aurais aimé plus de temps pour continuer à apprendre à te connaître. Alors il faut que je me dépêche.
Il y a des belles rencontres imprévues, mais qui, c’est la vie, sont dans le moment. Il faut alors ne pas se poser trop de questions, j’imagine.
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